De nombreux photographes étaient présents à cette manifestation avec des techniques et des
réalisations différentes. Du procédé alternatif « Ambrotype » de 1854 sur plaque de verre à l'utilisation de l'IA (Intelligence Artificielle) générative, 170 ans se sont écoulés et les créateurs friands de l'image ne cessent de nous étonner par la richesse de leurs réalisations. Cette richesse reste le miroir d'un for intérieur foisonnant, généreux et passionné qui permet au commun des mortels, de voyager dans des contrées lointaines et inconnues ou de rencontrer des personnages issus de l'imagination fertile et débordante du créateur.
De ce fait, une petite scénographie, mettant en valeur une séance de prises de vues studio, a été imaginée et s'est déroulée lors du vernissage sur un fond musical spécifique avec la participation de certains membres de l'association. Pour parfaire la mise en scène, un petit nombre de créateurs volontaires ont accepté d'endosser un rôle particulier afin de nous faire vivre et partager un moment particulier que seuls des initiés pouvaient connaître.
Chris Kale (photographe)
Delphine Rompteaux (modèle)
Christine Maindroux (modèle)
Arlette Murillon (modèle)
Yolande Thivel (modèle)
Lydia Tassani (modèle)
Marc Cluzel (saxophone ténor)
en évolution sur la musique « New York, New York », une mélodie issue du jazz Broadway qui a fait le succès de Frank Sinatra et celui d'Elsa Minnelli dans le film éponyme de 1977 avec Robert De Niro. Une opportunité à ce style orchestral de franchir l'océan atlantique pour venir s'épanouir sur les versants du plateau ardéchois.
« J'aimerais me réveiller dans cette ville qui ne dort jamais : New York, New York »
est alors devenu
« Je veux pouvoir chanter dans ce village qui sent bon l'été : Borée, Borée ».
(Cliquez sur l'image pour accéder à la galerie correspondante).
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Un moment hors du temps ,joyeux et heureux avec une MG superbe et très inspirante pour ses drôle de dames...